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  • Au programme de la journée, une balade à pied pour aller voir la vedette du parc ; le glacier Colgante. Depuis quelques jours on l’observe du navire et ensuite de la route, il nous tarde d’aller le rencontrer. Bien sûr, rien à voir avec le glaciar San Rafael (trop cher) ou le Perito Moreno (qui est pour plus tard), mais dont la cascade se voit de très loin. On emprunte un sentier de randonnée à travers une dense jungle de fougères géantes et de nalcas. Après 2h de marche, on arrive au point de vue, d’où on peut observer le glacier et les pans de glace qui s’en détachent pour s’écraser sur le rocher, ainsi que ses cascades puissantes. Il est encore trop tôt pour croiser des gens, on profite du lieu désert pour faire un bon pique-nique. On s’imprègne de se moment, à écouter la chute d’eau  et la glace qui craque. A peine, le « dessert » avalé, qu’on entend les groupes de visiteurs qui arrivent. La magie tombe, ce moment de solitude avec le glacier est terminé, il est temps de redescendre. Au village on rencontre une famille française (un couple et 3 enfants) en voyage sur le continent Américain pour un temps indéterminé. C’est rigolo, ils sont arrivés à la même date que nous à Buenos Aires, mais pas de billets de retour pour eux  ;-) On échange nos impressions durant un bon moment, et on se quitte, ciao, bonne route et bonne chance !!!

     http://nocybb110.fr/Nocybb110/Bienvenue.html

     

     

     

     


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  • Glaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar ColganteGlaciar Colgante

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  • Jeudi 15.11.12

     Direction Puerto Puyuhuapi, c’est-à-dire qu’on prend la route australe allant au nord pour refaire le chemin parcouru avec le navire en sens inverse et côté terre cette fois-ci. On longe une jolie vallée bordée de beaux lupins et genêt en fleurs, magnifique. La nature fait sa loi et l’homme s’y adapte malgré le climat extrême et la dureté du quotidien. Beaucoup de touristes y viennent pour la pêche, les truites et le saumon abondent dans les lagos et rios. On traverse quelques petits villages aux allures de Far West ; chevaux « stationnés » devant les petites cabanes en bois, bœufs et moutons dans les prairies. Ici, c’est un autre monde, on y cultive un mode de vie rare et le temps est ralentit. C’est après 100km que nous rencontrons la piste en gravillon, une enfilade d’ornière, nids de poule, qui traversent une nature vierge. Rivières, cascades, glaciers, lacs, forêts primaires, les paysages sont spectaculaires, grandioses, une région isolée, sauvage et cette piste difficile ajoute une note à ce charme. Seuls bémols, les véhicules que l’on croise ou qui nous dépassent roulent à vive allure, et nous entourent d’un nuage de poussière. Au bout de 60km, on aperçoit le village en bord de mer, au bout du fjord. Puyuhuapi, est un village qui a été fondé par des immigrants allemands en 1935, a part l’arrivée d’Internet, des paraboles et du téléphone portable, rien n’a beaucoup bougé depuis. Les enfants, plus habitués à la pluie, profitent de ces beaux jours pour se baigner dans le fjord.


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